La loi sur la transition énergétique a introduit un nouveau délit, passible de deux ans de prison et 300 000 euros d’amende. Il vise l’obsolescence programmée, qui « se définit par l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise à réduire délibérément la durée de vie d’un produit pour en augmenter le taux de remplacement. »
En obligeant ainsi le consommateur à remplacer des biens qui auraient pu durer beaucoup plus longtemps les constructeurs cherchent à maximiser leurs chiffres d’affaires et leurs profits à son dépens.
Un rapport d’avril 2013 intitulé avec à-propos « Obsolescence programmée ou les dérives de la société de consommation » du Centre européen de la consommation (CEC), une association franco-allemande d’information et de conseils Continuer la lecture