Dans une interview récente, M. Frérot, le président de VEOLIA évoque les difficultés des relations entre les entreprises et les Français qui, selon lui, « jugent l’entreprise incompatible avec l’intérêt général ».
Cette appréciation serait également répandue dans la sphère politique. Si on le comprend bien les hommes politiques opposeraient l’intérêt général, défendu et mis en oeuvre par la puissance publique, aux intérêts particuliers d’entreprises mues par la recherche du seul profit pour leurs actionnaires.
Or pour M. Frérot « quand une entreprise se porte bien, c’est un bienfait pour un pays ». L’entreprise sert certes « ses actionnaires mais aussi ses salariés, clients, fournisseurs, et même la France ! » Plutôt que de s’immiscer dans l’économie la sphère politique devrait mettre en oeuvre le cadre qui incitera les entreprises à se développer. Continuer la lecture