La Cour des comptes, cet étrange organe dont la qualité des rapports n’a d’égale que l’indifférence accordée à ses recommandations, s’inquiète du comportement d’un actionnaire vis-a-vis de quelques-unes des plus grandes entreprises françaises.
Profitant de son poids dans l’actionnariat et de sa représentation aux conseils d’administration il exige en effet un rendement hors normes. La Cour y voit le risque qu’il privilégie un rendement à court terme de ses participations au détriment des intérêts de ces sociétés et donc potentiellement de ses intérêts à long terme. Continuer la lecture